Le Climategate
Enquête de l’ONU, débat au Congrès américain, mise en garde de l’Arabie saoudite: l’affaire des courriels piratés d’éminents scientifiques au Royaume-Uni, soudain soupçonnés de manipuler les données sur le climat, prend de l’ampleur à quelques jours du sommet de Copenhague.
Au coeur de cette affaire, déjà baptisée “Climategate” par la presse: la publication sur internet le mois dernier de milliers de courriers
électroniques de chercheurs du prestigieux centre de recherches sur le climat (CRU) de l’université britannique d’East Anglia, victime d’un piratage informatique ou de fuites. Or plusieurs messages, dont certains provenant du directeur du CRU Phil Jones, indiqueraient que la communauté scientifique manipule les données sur le climat pour étayer la thèse d’un réchauffement dû aux activités de l’homme, selon les opposants à cette théorie.
Face à la gravité de ces allégations, le président du Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat (Giec), mandaté par l’ONU, a promis
vendredi de faire toute la lumière.
9 décembre 2009 (Nouvelle Solidarité) – Hier, 140 scientifiques réunis en marge du Sommet de Copenhague sur le Climat, ont publié une lettre ouverte au Secrétaire général des Nations Unies, demandant à l’ONU de fournir des preuves expérimentales pour étayer ses affirmations sur le « danger d’un réchauffement climatique causé par l’homme ». Nous publions ici une traduction française de cette lettre.
Lettre ouverte au Secrétaire général des Nations Unies
Son excellence Ban Ki Moon
Secrétaire général, Nations Unies
New York, NY
USA
Le 8 décembre 2009
Cher Secrétaire général,
La science du changement climatique est dans une phase négative de découverte ; plus nous en apprenons sur ce domaine exceptionnellement complexe et changeant, plus nous réalisons la faiblesse de nos connaissances. En réalité, ce n’est pas encore une science établie.
Il n’y a donc aucune raison valable pour imposer aux peuples de la Terre une politique coûteuse et restrictive sans avoir d’abord fourni des preuves convaincantes que les activités humaines provoquent un dangereux changement climatique, au-delà de causes naturelles.
Avant d’engager toute action précipitée, nous devons disposer de solides données d’observations démontrant que les récents changements de climat diffèrent substantiellement de ceux observés par le passé, et qu’ils excèdent largement les variations normales provoquées par les cycles solaires, les courants océaniques, les modifications des paramètres orbitaux de la Terre et autres phénomènes naturels.
Nous, signataires, étant compétents dans des disciplines scientifiques liées au climat, défions le CCNUCC [Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques - ndlr] et ses partisans, de fournir des preuves expérimentales convaincantes pour soutenir leur thèse d’un dangereux réchauffement ou autre changement climatique causé par l’homme.
Les projections d’éventuels scénarios futurs émanant de modélisations informatiques du climat ne constituent pas un substitut aux données réelles obtenues par des investigations scientifiques rigoureuses et impartiales.
Pour être précis, nous défions les partisans de l’hypothèse d’un dangereux changement climatique causé par l’homme, de démontrer que :
- les variations climatiques mondiales de ces cent dernières années dépassent significativement leur fourchette naturelle de variation, telle qu’observée dans les siècles précédents ;
- les émissions humaines de dioxyde de carbone et autres gaz à effet de serre (GES) ont un impact dangereux sur le climat mondial ;
- les modèles informatiques peuvent répliquer les effets de tous les facteurs naturels pouvant influer notoirement sur le climat ;
- le niveau des mers augmente dangereusement à un taux accéléré à cause des émissions humaines de GES, menaçant donc les petites îles et les zones côtières ;
- l’incidence de la malaria est de plus en plus due aux récents changements climatiques ;
- la société humaine et les écosystèmes naturels ne peuvent pas s’adapter à des changements climatiques prévisibles, comme ils l’ont fait par le passé ;
- la retraite des glaciers dans le monde et la fonte des glaces dans les régions polaires sont inhabituelles et liées à l’accroissement des émissions humaines de GES ;
- les ours polaires et autres espèces de l’Arctique et de l’Antarctique sont incapables de s’adapter aux effets anticipés de changements climatiques locaux, indépendamment des causes de ces changements ;
- les tempêtes, cyclones tropicaux et autres évènements météorologiques extrêmes s’accroissent de manières sévère, tant en fréquence qu’en intensité ;
- les données enregistrées par les stations de surface sont un indicateur fiable des tendances des températures.
Il n’est pas de la responsabilité des scientifiques réalistes du climat de prouver qu’un dangereux changement climatique causé par l’homme n’est pas en marche. Il appartient à ceux qui avancent cette thèse et promeuvent des investissements massifs pour résoudre ce supposé problème, de démontrer de manière convaincante que les récents changements climatiques ne sont pas principalement d’origine naturelle et que si nous ne faisons rien, un changement catastrophique surviendra. Jusqu’à maintenant, ils y ont failli.
Source : www.copenhagenclimatechallenge.org
- Limiter le CO2 pour contrôler la température : démonstration de l’absurdité
Monckton démontre pourquoi il n’y a aucun bénéfice à limiter nos émissions de CO2, MÊME en assumant que le GIEC (ONU) dise vrai en attribuant le CO2 au réchauffement (ce qui est pourtant erroné).
D’abord, l’homme brûle environ 30 milliards de tonnes de CO2 par an, soit 2ppm. Le GIEC prétend que si l’on ne fait rien pour limiter nos émissions, nous augmenterons celles-ci de 468 ppm au cours du prochain siècle. Cela représente 7000 milliards de tonnes de CO2, et entraînerait aune augmentation de 4 degrés C.Puisque nous produisons 30 milliards de tonnes par an, il faudrait 33 ans sans AUCUNE production de CO2 pour sauver un maigre 0.6 degré Celcius (aucune voiture, aucune électricité, rien!).
- Modèles climatiques erronés
Utilisant les graphiques obtenus d’une publication du climatologue Richard Lindzen, et reproduits ici (source), Monckton explique l’une des erreurs fondamentales des modèles climatiques.Sur l’image ci-contre, les 11 graphiques avec fond blanc représentent les principaux modèles climatiques utilisés par le GIEC.
La pente de chaque graphique représente la prédiction de la valeur du flux sortant de l’atmosphère (vers l’espace), au fur et à mesure que la température de surface des océans augmente.
En d’autres termes: tous les modèles prédisent que plus il fera chaud, plus l’atmosphère aura de la difficulté à laisser s’échapper la chaleur (rétroaction positive), permettant d’atteindre des hausses de 2 à 6 degrés en 2100.
Le graphique avec un fond jaune-vert représente la réalité, tel que comptabilisé par Lindzen. La pente est à l’inverse! C’est dire que les prédictions sont contraires à ce qui se passe dans l’atmosphère. Plus il fait chaud, plus la Terre laisse s’échapper la chaleur (rétroaction négative). C’est le thermostat naturel de la Terre.
CLIMATEGATE
RépondreSupprimerLe réchauffement climatique dû au CO2 est une arnaque gigantesque !
Non seulement le réchauffement climatique n'a pas évolué depuis 10 ANS et le CO2 est NECESSAIRE à la vie sur Terre !
(voir cette vidéo dans laquelle Alex Jones explique l'incroyable mensonge sur lequel repose cette théorie frauduleuse) LIEN CI-DESSOUS
http://www.dailymotion.com/video/xbf8kx_copenhague-climategate-larnaque-eco_news
Pour faire simple : les correspondances privées par mail entre spécialistes du CRU (Climate Research Unit), l'organe de référence pour les travaux du GIEC (Groupement International d'Etudes Climatiques), dont les analyses sur l'évolution du climat sont vénérées, ont été récupérées par des hackers. Résultat ? Ils avouent eux-même avoir truqué depuis des années leurs résultats pour pouvoir faire croire à un réchauffement climatique catastrophique.
L'arnaque géante de l'écologisme mondial est montée de toute pièces par les promoteurs du nouvel ordre mondial, qui ont endettés le monde entier du bas vers le haut, en se servant de l'égoïsme, des désirs, de la cupidité et de la naïveté des gens pour créer la crise globale dans laquelle nous nous trouvons et apporter leurs solutions. Le chantage est simple, c'est soit le nouvel ordre écologique mondial, soit la guerre totale et mondiale, dont ils profiteront pour se débarrasser des gens dont ils n'ont plus besoin, soit par le combat en lui meme soit par d'autres moyens multiples. Les grippes fulgurantes arrivent toujours à des moments clefs, c'est étrange. Quelques questions a se poser: va t on vers un rechauffement ou un refroidissement? si réchauffement, est ce la Terre ou le système solaire entier qui se réchauffe à cause de l'activité et des cycles du soleil ? toute activité génère du carbone, même le fait de dormir, va t'on devoir payer le fait de respirer ?
Est-ce le CO2 qui réchauffe toutes les autres planètes du système solaire ?! Non, c'est le soleil, mais Al Gore et cie ne vont certainement pas le dire...
La glace polaire nord-CAP est la fusion devant nos yeux. Ça a été la taille de la zone continentale des États-Unis pour la plupart des trois derniers millions d'années et maintenant tout à coup 40 pour cent de celui-ci est partie et le reste de celui-ci est menacée de disparaître dans les cinq, 10, 15 ans, dit Gore.
RépondreSupprimerEn réalité, entre l'été 2007 et été 2008, la glace arctique au pôle Nord un bond impressionnant de 30 pour cent, soit la superficie de l'Allemagne.
Selon les données recueillies auprès de la NASA Marshall Space Flight Center et l'Université de l'Illinois, l'étendue des glaces de l'Arctique avait au moins 30 pour cent plus élevé le 11 août 2008 que ce fut le août 12, 2007. Il s'agissait d'une estimation prudente basée sur la projection cartographique.
Gore Leaves Comfort Of 20 Bedroom Power Guzzling Mansion To Fearmonger About Polar Ice Caps 190808ice
Avril 2009 Une expédition au Pôle Nord par 20 scientifiques des États-Unis, le Canada, l'Italie et l'Allemagne a constaté que la glace de mer polaire a été de 100% plus épais que prévu.