Un nuage de dioxyde d’azote survole la Belgique
Rédaction en ligne
vendredi 09 avril 2010, 17:17
Visible à l’œil nu, il vient des Pays-Bas et descend la Belgique via la province du Luxembourg.
Un nuage de dioxyde d’azote venant de Geleen, près de Maastricht, s’est déplacé ce vendredi matin vers la Belgique, a-t-on appris auprès du Centre de crise. Ce nuage, qui est légèrement orangé et visible donc à l’œil nu, ne présente pas de danger pour la population ou l’environnement, selon le Centre de crise.
Le nuage de dioxyde d’azote, potentiellement irritant pour les voies respiratoires, a été détecté vendredi vers 6 heures aux Pays-Bas. Les autorités néerlandaises n’étaient pas inquiètes en raison de l’altitude prise par le nuage. Ce dernier s’est ensuite déplacé vers la Belgique. Il se trouvait vers 10 heures au-dessus de la Baraque de Fraiture. En raison du relief de la Belgique, les autorités belges se sont inquiétées de la venue de ce nuage, qui se déplaçait vers la province du Luxembourg.
Mais vous inquiétez pas, c'est comme le nuage de Tchernobyl de qui a eu lieu le 26 avril 1986, qui s'était arrêté aux frontières Belges et Françaises...
Tu n'as rien vu, à Tchernobyl...
Bon anniversaire! Nous avons tous été irradiés... par le mal invisible et inodore, inventé par l'homme.
On nous a menti, on nous a laissé sortir dans la rue, on nous a laissé manger des aliments exposés à des taux de radioactivité considérés comme dangereux... alors même que ces aliments étaient déclarés impropres à la consommation et interdits à la vente dans tous les pays européens voisins! Seulement voilà: la France demeure le pays possédant le plus de centrales nucléaires... et donc le plus de risques de catastrophes du nucléaire "domestique". On voulait soi-disant éviter un état de panique générale, mais le plus grave s'était pourtant déjà produit... En vérité, le gouvernement voulait surtout empêcher à tout prix les français de perdre confiance en l'énergie nucléaire, dans laquelle la France avait tout investie... en serions-nous là aujourd'hui, tous si fiers de nos 19 centrales et de nos 58 réacteurs, si le gouvernement avait simplement pris ses responsabilités à l'époque?
Car le gouvernement SAVAIT! Le 1er mai 1986, alors que le fameux "nuage de Tchernobyl" survolait la France, plusieurs centrales nucléaires voient tous leurs indicateurs dans le rouge, averties de taux de radioactivité très préoccupants. Après une vérification d'un fonctionnement parfaitement normal de leurs réacteurs, les ingénieurs comprennent que la menace ne vient pas de l'intérieur de la centrale... mais de l'extérieur! Tenus à la confidentialité, personne n'a pu évoquer ce sujet à la presse à l'époque. LE GOUVERNEMENT SAVAIT, mais l'économisme, cette idéologie nocive, c'est aussi ça: empêcher à tout prix un ralentissement de la croissance, quitte à mettre en péril la vie de dizaines de millions de personnes... Au nom de l'économie, le lobby du nucléaire n'a eu aucun mal à faire taire les politiques de l'époque, représentés en première loge par Chirac, premier ministre, tout juste arrivé au pouvoir... Premiers pas, premier MENSONGE D'ETAT, loin d'être le dernier!
Aujourd'hui, la France ne sait plus quoi faire des déchets engendrés par ses centrales. La France ne sait toujours pas ce qu'elle fera de tous ses réacteurs nucléaires, ayant déjà largement dépassé leur espérance de vie initiale, lorsqu'il faudra les remplacer... La grande réponse à tout demeure inlassablement la même, aussi stupide soit-elle: ENTERRONS TOUT! Allons-y, enterrons les déchets radioactifs dans la France rurale, pauvre et silencieuse. Cachons toutes nos horreurs que l'on ne saurait voir... Alors que nous ne savons rien "en pratique" de l'évolution de ces déchets, et que seule leur observation en surface serait "raisonnable" (tout comme l'arrêt du nucléaire pour éviter leur prolifération, mais ceci est une autre histoire...).
Aujourd'hui, les "experts" du nucléaire nous (r)assurent qu'un "accident" (et surtout pas: "catastrophe humanitaire", puisque après tout le bilan officiel de l'évènement, de 4000 morts, n'est toujours pas à ce jour remis en cause) comme celui de Tchernobyl ne peut en aucun cas arriver en France... comme bien sûr il ne pouvait en aucun cas arriver en URSS avant le 26 avril 1986.
On est donc rassuré et on accepte sans aucun débat démocratique le nouveau réacteur nucléaire ITER... la voie vers la fin du monde? Nous continuerons donc à faire l'autruche et à enterrer nos déchets radioactifs sous nos pieds, au mépris des générations futures, qui ne se souviendrons peut-être plus où ils se trouvent quand elles creuseront leurs tombes pour se protéger six pieds sous terre de l'apocalypse nucléaire qui les menace tous... et au mépris aussi du risque que nous faisons courir aux extra-terrestres qui viendront les déterrer lors de leurs fouilles archéologiques sur l'espèce humaine, dans quelques dizaines de milliers d'années, lorsque l'humanité aura depuis longtemps disparue, ira die... Où est la RESPONSABILITE dans tout ça?
On nous a menti, on nous a laissé sortir dans la rue, on nous a laissé manger des aliments exposés à des taux de radioactivité considérés comme dangereux... alors même que ces aliments étaient déclarés impropres à la consommation et interdits à la vente dans tous les pays européens voisins! Seulement voilà: la France demeure le pays possédant le plus de centrales nucléaires... et donc le plus de risques de catastrophes du nucléaire "domestique". On voulait soi-disant éviter un état de panique générale, mais le plus grave s'était pourtant déjà produit... En vérité, le gouvernement voulait surtout empêcher à tout prix les français de perdre confiance en l'énergie nucléaire, dans laquelle la France avait tout investie... en serions-nous là aujourd'hui, tous si fiers de nos 19 centrales et de nos 58 réacteurs, si le gouvernement avait simplement pris ses responsabilités à l'époque?
Car le gouvernement SAVAIT! Le 1er mai 1986, alors que le fameux "nuage de Tchernobyl" survolait la France, plusieurs centrales nucléaires voient tous leurs indicateurs dans le rouge, averties de taux de radioactivité très préoccupants. Après une vérification d'un fonctionnement parfaitement normal de leurs réacteurs, les ingénieurs comprennent que la menace ne vient pas de l'intérieur de la centrale... mais de l'extérieur! Tenus à la confidentialité, personne n'a pu évoquer ce sujet à la presse à l'époque. LE GOUVERNEMENT SAVAIT, mais l'économisme, cette idéologie nocive, c'est aussi ça: empêcher à tout prix un ralentissement de la croissance, quitte à mettre en péril la vie de dizaines de millions de personnes... Au nom de l'économie, le lobby du nucléaire n'a eu aucun mal à faire taire les politiques de l'époque, représentés en première loge par Chirac, premier ministre, tout juste arrivé au pouvoir... Premiers pas, premier MENSONGE D'ETAT, loin d'être le dernier!
Aujourd'hui, la France ne sait plus quoi faire des déchets engendrés par ses centrales. La France ne sait toujours pas ce qu'elle fera de tous ses réacteurs nucléaires, ayant déjà largement dépassé leur espérance de vie initiale, lorsqu'il faudra les remplacer... La grande réponse à tout demeure inlassablement la même, aussi stupide soit-elle: ENTERRONS TOUT! Allons-y, enterrons les déchets radioactifs dans la France rurale, pauvre et silencieuse. Cachons toutes nos horreurs que l'on ne saurait voir... Alors que nous ne savons rien "en pratique" de l'évolution de ces déchets, et que seule leur observation en surface serait "raisonnable" (tout comme l'arrêt du nucléaire pour éviter leur prolifération, mais ceci est une autre histoire...).
Aujourd'hui, les "experts" du nucléaire nous (r)assurent qu'un "accident" (et surtout pas: "catastrophe humanitaire", puisque après tout le bilan officiel de l'évènement, de 4000 morts, n'est toujours pas à ce jour remis en cause) comme celui de Tchernobyl ne peut en aucun cas arriver en France... comme bien sûr il ne pouvait en aucun cas arriver en URSS avant le 26 avril 1986.
On est donc rassuré et on accepte sans aucun débat démocratique le nouveau réacteur nucléaire ITER... la voie vers la fin du monde? Nous continuerons donc à faire l'autruche et à enterrer nos déchets radioactifs sous nos pieds, au mépris des générations futures, qui ne se souviendrons peut-être plus où ils se trouvent quand elles creuseront leurs tombes pour se protéger six pieds sous terre de l'apocalypse nucléaire qui les menace tous... et au mépris aussi du risque que nous faisons courir aux extra-terrestres qui viendront les déterrer lors de leurs fouilles archéologiques sur l'espèce humaine, dans quelques dizaines de milliers d'années, lorsque l'humanité aura depuis longtemps disparue, ira die... Où est la RESPONSABILITE dans tout ça?
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