Cette baston de scientifique n'a que peu de sens dans la mesure ou le camp
adverse sera toujours capable d'en produire 10 fois plus avec
des références au moins égales ou supérieure.
En fait, la forme est sans importance par rapport au fond, car les experts et contre-experts vont s'affronter encore longtemps.
Par contre, en prenant du recul, il est tout à fait évident qu'une telle opération, sa planification et encore plus sa réussite, ne peut absolument pas être l'oeuvre d'une bande de demeurés qui s'entrainent en simulateurs et braquent des zincs avec des couverts en plastique ou des petits cutters, le tout dirigé par un illuminé au fond d'une grotte. Pour en finir avec ça, balancer un énorme avion de ligne à pleine vitesse dans un building c'est comme de vouloir viser une allumette avec une fléchette, passons.
Tout ceci n'a qu'une importance relative par rapport à l'examen sans complaisance du fond :
La planification d'une opération de cette ampleur requiert des centaines de personnes et des années.
Agents dormants, infiltrés, financiers, coordinateurs, agents de liaisons, d'intendances, kamikazes, et les indispensables fusibles. Ces circuits doivent être triplés, quadruplés et plus, totalement hermétique les uns des autres. La structure dirigeante est au sommet d'une pyramide, dont les intermédiaires doivent être interchangeables, sacrifiable à tous moments et remplaçable immédiatement.
Les circuits financiers requièrent eux mêmes au moins autant de personnel que les opérationnels de terrain, et organisé de la même manière. Les agents de liaisons de type interface finance/logistique/intendance/terrain doivent être démultiplié, également remplaçable, et quasiment impossible à cloisonner. Les moyens financiers pour tous ces réseaux sont logiquement colossaux et impliquent donc de vastes réseaux de blanchiement. Les planificateurs se doivent d'être présent sur tous les continents, à chaque étape, et possèder leurs propres réseaux. Les communications à tous niveaux, pour être efficace se doivent d'être démultipliable à l'infini, mais ne peuvent jamais être totalement sure.
Les capacités d'exfiltrations de sécurité sont encore d'autres réseaux à entretenir et controler qui se doivent d'avoir de conséquent moyens matériels pour être efficace.
Chaque étape de la planification se doit de posséder de multiples scénarios de rechange et un seul homme ne peut-être l'unique dépositaire de l'ensemble des opérations complexe à tous niveaux.
La transversalité au niveau organigramme des intermédiaires est une énorme faiblesse.
De tels réseaux ne peuvent être à l'abri des infiltrations et des fuites, ce qui rend encore plus hypothétique une réussite totale.
Mais le pire est à venir: L'infiltration.
L'infiltration des rouages de l'administration nord-américaine, au plus haut niveau et dans toutes les directions, de l'aviation civile au Pentagone en passant par le NORAD, réclamerait des vies consacré à cela, pour saboter, camoufler, et définir les fenètres de tirs. La encore, on retrouverait le même mode de fonctionnement que la partie opérationnelle, mais en beaucoup plus sensible au niveau planification, communications, liaisons et rapporteurs. La partie renseignement est fondamentale dans le cadre de cette opération.
A ce niveau du dispositif, le ratage d'un seul d'entre eux annule l'opération.
La clandestinité totale pour l'ensemble n'est donc logiquement pas envisageable.
Pour être crédible, c'est très exactement ce que la commission officielle Kean/Hamilton aurait du mettre à jour.
Par contre, en prenant du recul, il est tout à fait évident qu'une telle opération, sa planification et encore plus sa réussite, ne peut absolument pas être l'oeuvre d'une bande de demeurés qui s'entrainent en simulateurs et braquent des zincs avec des couverts en plastique ou des petits cutters, le tout dirigé par un illuminé au fond d'une grotte. Pour en finir avec ça, balancer un énorme avion de ligne à pleine vitesse dans un building c'est comme de vouloir viser une allumette avec une fléchette, passons.
Tout ceci n'a qu'une importance relative par rapport à l'examen sans complaisance du fond :
La planification d'une opération de cette ampleur requiert des centaines de personnes et des années.
Agents dormants, infiltrés, financiers, coordinateurs, agents de liaisons, d'intendances, kamikazes, et les indispensables fusibles. Ces circuits doivent être triplés, quadruplés et plus, totalement hermétique les uns des autres. La structure dirigeante est au sommet d'une pyramide, dont les intermédiaires doivent être interchangeables, sacrifiable à tous moments et remplaçable immédiatement.
Les circuits financiers requièrent eux mêmes au moins autant de personnel que les opérationnels de terrain, et organisé de la même manière. Les agents de liaisons de type interface finance/logistique/intendance/terrain doivent être démultiplié, également remplaçable, et quasiment impossible à cloisonner. Les moyens financiers pour tous ces réseaux sont logiquement colossaux et impliquent donc de vastes réseaux de blanchiement. Les planificateurs se doivent d'être présent sur tous les continents, à chaque étape, et possèder leurs propres réseaux. Les communications à tous niveaux, pour être efficace se doivent d'être démultipliable à l'infini, mais ne peuvent jamais être totalement sure.
Les capacités d'exfiltrations de sécurité sont encore d'autres réseaux à entretenir et controler qui se doivent d'avoir de conséquent moyens matériels pour être efficace.
Chaque étape de la planification se doit de posséder de multiples scénarios de rechange et un seul homme ne peut-être l'unique dépositaire de l'ensemble des opérations complexe à tous niveaux.
La transversalité au niveau organigramme des intermédiaires est une énorme faiblesse.
De tels réseaux ne peuvent être à l'abri des infiltrations et des fuites, ce qui rend encore plus hypothétique une réussite totale.
Mais le pire est à venir: L'infiltration.
L'infiltration des rouages de l'administration nord-américaine, au plus haut niveau et dans toutes les directions, de l'aviation civile au Pentagone en passant par le NORAD, réclamerait des vies consacré à cela, pour saboter, camoufler, et définir les fenètres de tirs. La encore, on retrouverait le même mode de fonctionnement que la partie opérationnelle, mais en beaucoup plus sensible au niveau planification, communications, liaisons et rapporteurs. La partie renseignement est fondamentale dans le cadre de cette opération.
A ce niveau du dispositif, le ratage d'un seul d'entre eux annule l'opération.
La clandestinité totale pour l'ensemble n'est donc logiquement pas envisageable.
Pour être crédible, c'est très exactement ce que la commission officielle Kean/Hamilton aurait du mettre à jour.
Et qu'avons nous reçu à la place ? Des hypothèses totalement foireuses qui n'ont aucun rapport avec un mode opérationnel d'une telle ampleur. A leur décharge, cette commission n'a bénéficié que de 600 000 $ pour travailler, Kenneth Star en a eu 40 millions pour prouver que Bill avait taché la robe de Monica. Comme il existe 5 fois plus de ressource attribué aux enquètes de violations de l'embargo sur Cuba, que pour poursuivre Ben Laden.
Au-dela, pas le plus "petit" membre des services de renseignement, aucun militaire, d'aucun pays ne pourra avaler la version officielle, et pour cause :
Le véritable pouvoir de nuisance des cellules terroristes telles que nous les connaissons, est extrèmement limité.
Un camion d'explosif en 1993 dans le WTC. Une barque bourré d'explosif contre l'USS Cole en 2000 au Yemen. Quelques bagnoles contre des ambassades. A Londres et à Madrid, il s'agit d'opérations plus ou moins réussies, individuelles, et les auteurs sont immédiatement arrêté tandis que leur minable réseau est identifié et démantelé. Ce qui rend l'imprévisibilité de telles actions est la nature même de ces cellules : Individuelle, autonome, et une organisation horizontale. Tout le contraire de ce que nous avons vu plus haut.
Comment ne pas voir l'évidence de la différence d'échelle entre ces piqures de moustiques et une opération telle que celle du 11/09 ?
Il est également impossible qu'un groupe terroriste possède un tel potentiel de nuisance, alors qui d'autre qu'un puissant service de renseignement, possèdant et maitrisant l'ensemble de la chaine ?
Surtout, gardons bien à l'esprit que l'Opération Northwood (1962), prévoyait déja de tuer un grand nombre de citoyen US par son gouvernement, à l'aide d'avion de ligne et de frappe sur des batiments militaires.
La problématique actuelle, posé par les travaux sur l'hypothèse alternative du 11/09 est sa très grande disparité. Il est indispensable de tout lire, tout voir, pour reconstituer le fil complet des évènements. Et ce n'est qu'a cette condition que nous pouvons avoir une vue d'ensemble très clair, et dans laquelle la version officielle apparait irréfutablement comme un mensonge éhonté.
Cet effort est indispensable, car cet évènement, façonne notre présent et notre futur, jusqu'a la possibilité de provoquer un conflit nucléaire. Tant que ce mythe ne sera pas démonté, nous n'aurons aucune possibilité de stopper significativement l'administration capitaliste et nihiliste des Etats-Unis d'amérique.
11-Septembre : Vers un basculement de l’opinion scientifique ?
Tout récemment, l’ingénieur chimiste Mark Basile a confirmé, après analyses, la présence de matériaux hautement inflammables de type nano-thermite (une substance exothermique Hi-Tech à usage exclusivement militaire capable de fondre l’acier instantanément) dans les décombres du World Trade Center [voir son interview filmée], corroborant les résultats d’analyses du physicien Steven Jones, du chimiste Niels Harrit de l’Université de Copenhague, et plus récemment du géo-physicien et chercheur retraité du CNRS André Rousseau dont nous avions publié l’étude en exclusivité sur le site de notre association ReOpen911 en mai 2010.
Ces analyses doivent-elles êtres considérées a priori comme farfelues ? L’avis de ReOpen911 est clair : cela n’est tout simplement pas possible. En effet, outre le fait que leurs auteurs sont des experts au CV bien rempli et parfaitement crédibles, la théorie de la démolition contrôlée par ajout d’énergie extérieure (que ce soit par des explosifs ou des substances exothermiques) est, en toute objectivité, la seule qui à ce jour parvient à expliquer l’ensemble des phénomènes observés :
- La vitesse de la chute des TROIS tours (comprise entre 10 et 15 secondes pour les Tours Jumelles ; de 6,5 secondes pour le WTC7), les étages inférieurs n’ayant offert pratiquement aucune résistance.
- La quasi parfaite symétrie des trois effondrements.
- L’observation de projections horizontales et « explosives » de matériaux lors de l’effondrement des Tours Jumelles, dont des poutrelles pesant jusqu’à 20 tonnes [voir l’analyse en images de ces éjections par le professeur de physique David Chandler].
Effondrement du WTC2 : sa masse est projetée dans toutes les directions
Ejections "explosives" de matériaux sous le rideau de débris en chute libre
Poutre encastrée dans une tour située à plus de 100 m du WTC
- La présence d’acier en fusion dans les ruines du WTC.
Acier en fusion dans les ruines du WTC
Image satellite du 16 sep.01 montrant des sources de chaleur thermique "anormales"
Eléments d’acier et de béton compactés et fusionnés
- Les violentes explosions avant effondrement capturées par les caméras et micros de grands médias, et dont ont été témoins de nombreux survivants, pompiers, policiers, et journalistes [voir les vidéos "Florilège de témoignages d’explosions dans les Tours Jumelles" et "Explosions au WTC : des pompiers témoignent"].
Les études et analyses susmentionnées sont-elles pour autant dans le vrai ? Il n’appartient pas à l’association ReOpen911 de s’autoproclamer arbitre et de porter un jugement définitif sur cette question. Toutefois, la situation est à présent la suivante : nous observons une vive et incessante accélération du rythme de publication d’études et d’analyses scientifiques qui réfutent la version officielle de l’effondrement des trois tours du World Trade Center. L’opinion scientifique serait-elle sur le point de basculer du côté de la remise en cause de la version officielle ? Notons que les tenants de la version officielle ne sont bien souvent pas indépendants, à commencer par les experts du NIST, l’agence gouvernementale américaine qui fut chargée de l’enquête officielle sur l’effondrement des tours du WTC, et qui dépend du Département du Commerce (le président de cette agence qui rendit les rapports si controversés fut nommé par George W. Bush).
Les experts scientifiques qui contestent la version officielle, toujours plus nombreux, se sont regroupés en associations ou collectifs professionnels dédiés à la recherche de la Vérité et appelant à une nouvelle enquête :
Architects & Engineers for 9/11 Truth, une association américaine regroupant plus de 1300 architectes et ingénieurs [voir l’interview filmée du fondateur de l’association].
Scientists for 9/11 Truth, une association regroupant plus de 60 scientifiques américains de premier plan (chimistes, physiciens, geophysiciens...) [voir l’analyse du rapport du NIST sur l’effondrement des Tours Jumelles par le physicien Steven Jones et l’ingénieur chimiste Kevin Ryan].
Le Collectif Scientifique Francophone pour la Vérité sur le 11 Septembre, un tout jeune collectif créé en septembre 2010 qui regroupe des scientifiques francophones dont le géo-physicien et chercheur retraité du CNRS André Rousseau.
Pour toutes ces raisons, l’association ReOpen911 appelle au débat public sur l’effondrement des trois tours du WTC. Les médias grand-public ont bien évidemment un rôle déterminant à jouer dans l’établissement de la vérité, fonction qu’ils assument désormais parfois (trop peu souvent encore) dans un certain nombre de pays étrangers, notamment aux Etats-Unis où même Fox News a opéré un revirement radical sur le traitement médiatique du 11-Septembre.
Le 13 novembre dernier, à peine plus d’un mois après une première émission de Fox News qui donna l’occasion au lieutenant-colonel Anthony Shaffer et à l’ancien membre de la CIA Michael Scheuer de dénoncer le fait qu’il y avait eu des dissimulations sur le 11 Septembre « aux plus hauts niveaux du gouvernement », la chaîne ultraconservatrice a invité sur la plateau de l’émission d’information « Geraldo at Large » deux personnalités du Mouvement pour la Vérité sur le 11-Septembre. L’objet de l’émission : discuter de la campagne télévisée « Building What ? » dont l’objectif est d’obtenir une nouvelle enquête sur l’extraordinaire effondrement du WTC 7, la TROISIEME tour à s’être effondrée le 11 septembre 2001.
Devant une audience de plus d’un million de téléspectateurs, le très populaire animateur Geraldo Rivera, qui jusqu’à peu était un critique virulent du Mouvement pour la Vérité sur le 11/9, reconnaît à présent avoir évolué dans ses positions. Il conclut l’émission en affirmant : « C’est un sujet intriguant. Je suis bien plus ouvert à ce sujet que je ne l’étais, et c’est à cause de l’engagement des familles du 11/9, et de tous ces ingénieurs et architectes ». Son aveu résonne comme un mea culpa. Regardez cette émission de Fox News sous-titrée en français :
Devant une audience de plus d’un million de téléspectateurs, le très populaire animateur Geraldo Rivera, qui jusqu’à peu était un critique virulent du Mouvement pour la Vérité sur le 11/9, reconnaît à présent avoir évolué dans ses positions. Il conclut l’émission en affirmant : « C’est un sujet intriguant. Je suis bien plus ouvert à ce sujet que je ne l’étais, et c’est à cause de l’engagement des familles du 11/9, et de tous ces ingénieurs et architectes ». Son aveu résonne comme un mea culpa. Regardez cette émission de Fox News sous-titrée en français :
Il s’agit là d’un franc succès pour la campagne « Building What ? » dont ReOpen911 est partenaire officiel aux côtés des familles de victimes, survivants et secouristes du 11 Septembre représentés par l’association NYCCAN.
L’association ReOpen911, à l’instar du Collectif Scientifique Francophone pour la Vérité sur le 11-Septembre, invite les experts scientifiques francophones - physiciens, chimistes et ingénieurs du génie civil - à se pencher sur les questions que pose l’effondrement des trois tours du WTC et à réaliser leurs propres études et analyses. A leur attention, nous avons annexé à cet article une liste bibliographique regroupant les rapports officiels du NIST et une sélection d’études et d’analyses scientifiques de référence ; certaines soutiennent la version officielle, les autres la contestent.
—La rédaction de ReOpen911—
Bibliographie
Rapports officiels (par ordre chronologique) :
Rapport de la FEMA (Federal Emergency Management Agency), « World Trade Center Building Performance Study : Data Collection, Preliminary Observations and Recommandations », Mai 2002
Rapport de la FEMA (Federal Emergency Management Agency), « World Trade Center Building Performance Study : Data Collection, Preliminary Observations and Recommandations », Mai 2002
Quelques études et analyses de référence soutenant la version officielle (par ordre chronologique) :
- « Mechanics of Progressive Collapse : Learning from World Trade Center and Building Demolitions", Zdenek P. Bazant, Mathieu Verdure, Mars 2007
- « What Did and Did not Cause Collapse of WTC Twin Towers in New York », Zdenek P. Bazant, Jia-Liang Le, Frank R. Greening et David B. Benson, Mai 2007 (révise en mars 2008)
- « What Did and Did not Cause Collapse of WTC Twin Towers in New York », Zdenek P. Bazant, Jia-Liang Le, Frank R. Greening et David B. Benson, Mai 2007 (révise en mars 2008)
Quelques études et analyses de référence réfutant la version officielle (par ordre chronologique) :
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